Programmée dans le cadre de la Saison Africa2020, l’exposition Au-delà des apparences s’est installée aux Abattoirs. Un accrochage qui rassemble des artistes africaines autour des interrogations sur la transissons dans les sociétés contemporaines et sera proposé au public jusqu’au 29 août.
Au-delà des apparences est le nom de la grande exposition proposée actuellement par les Abattoirs de Toulouse. S’il est pour l’instant impossible d’y accéder, la longue présence des oeuvres au FRAC de Toulouse, jusqu’au 29 août, devrait permettre à tous d’aller les admirer.
Conçue dans le cadre de la Saison Africa2020, Au-dela des apparences rassemble les oeuvres d’artistes africaines. Toutes s’interrogent à travers leur travail sur la transmission dans les sociétés contemporaines qui, au-delà de l’Afrique, trouvent des résonances en France et dans le reste du monde.
L’exposition rassemble des artistes femmes africaines qui partagent des interrogations sur les modes d’échanges et les technologies de la transmission dans les sociétés contemporaines qui, au-delà de l’Afrique, trouvent des résonnances en France et dans le reste du monde, particulièrement aujourd’hui. Le point de départ poétique de l’exposition sont les mots du cinéaste sénégalais Djibril Diop Mambéty (1945-1998) interviewé dans La grammaire de grand’mère par le réalisateur camerounais Jean-Pierre Bekolo. Il nous rappelle que les choses existent ”au-delà des apparences”, que le pouvoir du récit réside dans le fait de les dépasser et d’imaginer un autre type de monde. Ainsi, s’il nous arrive de commencer une histoire par ”il était une fois”, et si la prochaine fois l’histoire commençait par ”il sera une fois” ?
Plus d’informations : lesabattoirs.org