Técou : le blues s’empare du village les 17 et 18 mai !

Dans un cadre idyllique, l’association Técou en Blues, en étroite collaboration avec la commune de Técou, offre une nouvelle fois une exploration des divers courants du blues avec une programmation qui sort des sentiers battus ! Le festival Técou en blues est à vivre les 18 et 19 mai ! 

Rendez-vous vendredi 17 mai à partir de 17h à la Salle multiculturelle de Técou. C’est McKinley James qui ouvrira ce festival. Une chance puisque ce sera l’une des deux exceptionnelles dates en France (Técou et Paris) de ce jeune guitariste et chanteur blues de 20 ans, aux influences rock & roll. La soirée se poursuivra avec deux jeunes artistes américains : Quinn Deveau, chanteur et guitariste à la soul puissante, sensuelle, faisant vibrer l’héritage de l’American Roots Music, et pour clôturer cette première soirée, Noreda Graves, dont le son est un mélange de gospel, funk, blues et R&B.

Samedi 18 mai, Técou en Blues propose de retrouver le public dès 14h30 pour la rencontre d’auteur avec Eric Doidy, sociologue et auteur de plusieurs ouvrages sur le blues parus aux éditions Le mot et le reste.
La suite de la programmation, ce sont encore des concerts inédits à Técou : à 17h, Sébastopol, one-man band installé dans le Tarn, un bricoleur de génie pour nous transporter aux racines du blues, puis à 19h, le festival se poursuivra à l’extérieur de la Salle multiculturelle, aux abords du lac, avec le grand Netto Rockfeller Trio du Brésil, accompagné par le maitre de l’harmonica et du piano Victor Puertas et du « Guitar Sensation » Luca Giordano.

À 21h, sur le plateau de la Salle multiculturelle de Técou, l’Américain SaRon Crenshaw nous transportera dans un blues authentique, avec sa voix chaleureuse, gorgée de soul, alliée à son jeu de guitare singulier et à ses compositions accomplies. La soirée et le festival se clôtureront avec le concert de 22h45 avec Bernard Sellam & The Boys from The Hood. Une formation composée d’une section rythmique, d’un chanteur guitariste et de deux cuivres nous amènera dans les années 50, où la musique noire américaine en vogue s’appelait Rhythm’n’Blues.

Plus d’informations : tecouenblues.fr