Petit-déjeuner littéraire avec Judith Vanistendael
11h00-12h00 Maison pour tous Boris Vian
La Jeune Fille et le Nègre, son diptyque graphique (Actes Sud – L’an 2), a révélé Judith Vanistendael auprès des amateurs de bande dessinée. Les livres qui ont suivi ont confirmé l’immense talent de cette jeune auteure flamande, douée d’une inventivité graphique rare, d’un sens très sûr de la couleur et du rythme de la narration. Venez la rencontrer à l’occasion d’un petit-déjeuner littéraire… et graphique !
Le samedi 26 mai
Petit-déjeuner littéraire avec Stefan Brijs
9h30-10h30 Jardin de la Maison des Relations Internationales
L’œuvre romanesque de Stefan Brijs est d’une grande richesse : avec Le Faiseur d’anges (Héloïse d’Ormesson), il livrait un thriller scientifique et une fable métaphysique sur la génétique et ses manipulations ; Courrier des tranchées est un roman de guerre et d’apprentissage qui plonge ses lecteurs dans l’Angleterre du premier conflit mondial et interroge les notions de courage, de loyauté et de mensonge… Le public est invité à rencontrer un des auteurs flamands les plus populaires aujourd’hui lors d’un moment privilégié.
En partenariat avec le Cercle des Néerlandais de Montpellier.
Petit-déjeuner littéraire avec Marion Vernoux
10h00-11h00 Café de La Panacée
Mobile home (éditions de L’Olivier) est le premier livre de Marion Vernoux. La réalisatrice de Les Beaux jours y raconte avec beaucoup d’humour et de franchise sa vie toute de travers, ses blessures, familiales, amoureuses, sa passion pour le cinéma…
English breakfast avec Jenny Colgan
11h00-12h00 Terrasse de l’hôtel Mercure Centre
Rencontrez l’auteure britannique Jenny Colgan, specialiste des comédies romantiques, autour d’un petit-déjeuner convivial, et découvrez les aventures de Connie (Toute résistance serait futile, Milady), une mathématicienne embauchée par les services secrets pour décrypter un code mystérieux…
Petit-déjeuner littéraire avec Pascale Kramer
11h00-12h00 Jardin de la Maison des Relations Internationales
Peut-on empêcher quelqu’un de se détruire ? Cela fait presque trente ans que ses parents comme son frère et ses sœurs ressassent cette question et tentent, chacun à sa façon, de sauver Romain de lui-même. Ce fils, ce frère à la déconcertante gentillesse s’est patiemment abîmé, bouleversant malgré lui la vie de toute sa famille. Et aujourd’hui, alors que sa sœur vient d’accoucher, tous découvrent que Romain a de nouveau disparu. Dans Une famille (Flammarion), Pascale Kramer met admirablement en scène les relations fraternelles et filiales en offrant tour à tour la parole aux membres d’une famille aux prises avec l’énigme que constitue l’un des leurs.
Le dimanche 27 mai
Petit-déjeuner littéraire avec Yahia Belaskri et Jean-Louis Comolli
10h00-11h00 Jardin de la Maison des Relations Internationales
L’Algérie sera au cœur de ce moment littéraire et convivial : avec Une terrasse en Algérie (Verdier), Jean-Louis Comolli offre un très beau roman des origines, celles d’un adolescent pied-noir, habitué de la terrasse de l’Excelsior, qui voit s’effondrer autour de lui le grand mensonge de l’Algérie coloniale. Le Livre d’Amray de Yahia Belaskri (Zulma) est tout autant le récit d’une enfance et d’une jeunesse marquées au fer de la guerre et de la violence en Algérie, qu’une charge ardente contre un régime autoritaire et tous les intégrismes religieux.
Petit-déjeuner littéraire avec Ulysse Terrasson
10h00-11h00 Café de la Panacée
Plein de promesses (Bamboo) est le premier roman d’un jeune Montpelliérain, Ulysse Terrasson, qui livre la chronique douce-amère d’un adieu à l’adolescence, égrenant les premières fois, renoncements et apprentissages, qui transforment un jeune homme en adulte.
Café littéraire avec Patrice Franceschi
11h30-12h30 Café de la Panacée
Avec Dernières nouvelles du futur, Patrice Franceschi imagine notre avenir proche en quatorze textes d’anticipation… et interroge notre présent : le culte de la performance, les mirages du transhumanisme, l’ombre des attentats de masse, la célébrité et ses masques… À la technophilie galopante et aveugle, il oppose la raison ironique, teinté de stoïcisme.