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Lectoure : l’été photographique vous donne rendez-vous du 10 juillet au 19 septembre

27 Avr 2021 | Expos, Gers, Photographie

Le festival L’été photographique constitue depuis une trentaine d’années un temps fort de la programmation du Centre d’art et de photographie de Lectoure. Grâce à un parcours déambulatoire entre plusieurs lieux emblématiques de l’historie de Lectoure, les visiteurs profitent d’une balade entre découverte de la ville et interactions indécents entre art, patrimoine et tourisme. Cette année, ce rendez-vous photographique se tiendra du 10 juillet au 19 septembre.  

À la croisée des chemins entre visite patrimoniale et découverte de l’art de la photo, L’été photographique de Lectoure propose une nouvelle édition cet été ! En 2021, pour la première fois, une exposition est programmée dans le cloître de la collégiale de La Romieu. Le festival propose également une programmation culturelle riche, imaginée dans une perspective d’ouverture et de circulation des publics et en partenariat avec différentes structures sur le territoire gersois.

Le programme : 

  • À la Maison de Saint-Louis / Centre d’art et de photographie de Lectoure, le collectif de photographes Tendance Floue et ses invités proposent le projet d’exposition Azimut (2020), restitution d’une marche photographique de plus de huit mois menée en relais par 31 photographes entre mars et octobre 2017 à travers le territoire français. À la Cerisaie, Nía Diedla, nourrie de l’esprit du lieu continue sa course sur le fil d’une autobiographie réinventée. Avec l’installation Mythos / la maison sans nom (2021), elle s’interroge sur la maison. À partir de constellations d’images, de mots, d’objets, films, bandes sonores, elle propose l’histoire d’une maison voyageuse, d’une maison nomade habitée par une femme coupée en deux.
  • Au rez-de-chaussée de l’école Bladé, Christophe Goussard et Charles-Frédérick Ouellet présentent Entre fleuve et rivière (2019), projet photographique mené en résidence au Pays Basque et dans les provinces du Québec et du Labrador. Un dialogue entre deux photographes, deux écritures photographiques, une immersion dans les paysages. Au premier étage, l’exposition de François Méchain s’intitule Une aventure canadienne et se compose de plusieurs œuvres réalisées au Canada entre 1990 et 2007 dans le cadre de résidences longues.
  • À la halle aux grains, on est aspiré par un dispositif scénographique complexe, parfois ouvert, parfois immersif. À l’entrée du lieu, une expérience poly sensorielle se met en place avec la réactivation d’une large installation olfactive de Julie Fortier. Pas à pas, nous découvrons Les chiens de fusil (2009 – 2011), une exposition à partir des pages d’un carnet de recherche de Léa Habourdin qui rassemble photographies, dessins, textes, collages. Au loin surgissent plusieurs séries photographiques de Marine Lanier qui cohabitent sur deux grands murs. Pour la plasticienne Ariane Michel la notion de « nature » du point de vue occidental aurait laissé l’être humain au-dehors. Thomas Cartron et Sylvain Wavrant, tous deux plasticiens et directeurs artistiques de l’association Nos Années Sauvages, réactivent les œuvres réalisées pendant la résidence de création Anima Obscura à l’automne 2020 au Centre d’art et de photographie de Lectoure. Le plasticien Laurent Martin, l’un des membres actifs de Nos Années Sauvages, les accompagne et imagine une scénographie labyrinthique pour le projet qui prend comme point de départ le mythe de Diane et Actéon.
  • Aux allées Montmorency et à la collégiale de La Romieu, on découvre le projet Tropiques du photographe Julien Coquentin, un livre photographique transposé en une exposition qui se décline en deux chapitres.

 

Plus d’informations : centre-photo-lectoure.fr

CatégoriesExpos | Gers | Photographie

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