Artiste montpelliérain et autodidacte, Krystöf peint sur ses toiles ses Rêveries urbaines. Profondément inspiré par l’architecture des villes, il poursuit sa production jusque dans les rues montpelliéraines laissant sa trace sur le mobilier urbain. Rencontre avec un artiste à la fois peintre et adepte du street art.
Vous êtes un artiste autodidacte, quel a été votre parcours artistique ?
J’ai 42 ans, je suis né à Montpellier. Je suis autodidacte, je n’ai pas fait l’école des Beaux-Arts, je n’ai aucune formation. J’ai commencé à peindre en 2012 et j’ai réalisé mes premières expositions en 2013. La pratique de la peinture est arrivée assez tard, au début je faisais uniquement des collages pour offrir à mes amis, à ma famille. C’était, un plaisir. Je travaillais sur une thématique ethnique, très colorée, avec des influences africaines et sud-américaines.
J’ai commencé comme ça puis, petit à petit, la peinture s’est invitée sur mes collages. Au bout d’un certain temps, j’ai complètement lâché le collage pour commencer une première série uniquement peinte. En 2013, j’ai eu l’opportunité de présenter ma première exposition : c’était vraiment très coloré des masques africains, des écritures touarègues. Cette exposition a eu tellement de bons retours que j’ai eu un déclic et je n’ai plus arrêté. C’est devenu une passion, une raison de vivre, même si je n’en vis pas. Mon objectif c’est d’être exposé dans des galeries, à Montpellier mais aussi à Lyon, Toulouse ou Paris : dans plein de villes en France.
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