Il y a eu Beber project vol 1 : hommage à François Béranger, suivi de Sanseverino & Tangomotán. Deux albums relativement différents comme on le voit et on l’entend. Et puis, comme souvent chez Sanseverino, un nouveau projet a vu le jour, né de l’envie d’aller arpenter d’autres lieux, de se nourrir d’autres musiques, de se battre avec d’autres mots : Les deux doigts dans la prise. À cette occasion, l’artiste se produira sur la scène du Rockstore le jeudi 9 mars.
Ce nouvel album, c’est un trio blues – rock – funk avec basse (François Puyalto), batterie (Stéphane Huchard), guitare-chant (Sanseverino). Un nouvel opus, selon Sanseverino qui « laisse de la place aux instruments ». Le groupe a répété pendant quasiment un an à cause, ou grâce, à la situation sanitaire. « Nous avons essayé de retourner le confinement à notre avantage : nous avons beaucoup travaillé, essayé plein de versions, testé des intros, jeté des impros… Quand nous sommes venus enregistrer, nous étions fin prêts…. Mais d’autres idées sont venues au moment de jouer ensemble. En studio tout s’entend mieux. J’ai laissé une petite part à la post-production en injectant quelques sons un peu bizarres pour nourrir les morceaux. Il y a eu des invités, venus sans avoir répété auparavant : l’un joue du synthé (Xavier Tribolet), l’autre du saxo basse (Fred Gastard) et ils ont eux aussi réinventé des morceaux. »
Sanseverino et ses musiciens ont enregistré Les deux doigts dans la prise au studio Pigalle, à Paris. « C’est vraiment agréable de respirer l’ambiance d’un studio et de retrouver ses sensations. Maintenant, il faut remonter sur scène, partir sur les routes, entendre les bruits d’une salle, frémir aux premiers applaudissements. C’est mon quatorzième album, j’ai toujours peur, je suis toujours ému, comme à mes débuts mais quand ça démarre... »
Plus d’informations et billetterie : rockstore.fr et points de vente habituels.