Avec l’arrivée du printemps, le Colombier, à Alès, dévoile un tout nouvel accrochage. Depuis le 8 mars, le public peut découvrir un nouveau regard, de nouvelles histoires dans un espace métamorphosé. 

Des tableaux revenus de restauration, des chefs-d’œuvre accrochés différemment, un salon comme si on habitait au Colombier, un mur des portraits, de la couleur, du papier peint invitent à redécouvrir le charme de la collection Beaux-arts du Musée du Colombier.

Sur deux étages et dix salles, un vaste panorama d’œuvres du XVI au XX siècle des écoles du Nord, italiennes et françaises se développe. Le triptyque de La Sainte Trinité de Jean Bellegambe, les œuvres de Brughel de Velours côtoient les œuvres plus locales d’Adolphe Perrot et les paysages d’Alès. Du mobilier régional et un ensemble de céramiques de Jean Mayodon complètent cet accrochage.

Le printemps du Colombier est une façon d’exprimer le renouveau et un épanouissement. Le dernier accrochage de la collection datait de 2004. Il aura fallu un long travail sur les œuvres, leur analyse sanitaire, leur récolement, un grand dépoussiérage puis la restauration de certaines, la réorganisation des réserves avant de proposer aujourd’hui un nouveau regard sur la collection Beaux-arts.

Les œuvres restaurées d’Adolphe Perrot, les paysages d’Alès, une scénographie colorée et
les œuvres d’art moderne en regard de plus anciens sont autant de signes d’une nouvelle ère.

Plus d’informations : museeducolombier.fr