Cendrine Bonami-Redler est née, a grandi et vit en Seine-Saint-Denis. Avec une double formation de graphiste et d’architecte d’intérieur, elle est graphiste “pour l’espace” depuis une vingtaine d’années. Cendrine Bonami-Redler n’a jamais cessé de dessiner, c’est dans cet esprit qu’elle est devenue professeur dans trois établissements supérieurs souhaitant transmettre ce qu’elle avait eu la chance d’apprendre. Elle a notamment écrit Dans son jus, voyageur sur les zincs, Elytis, 2018.
Claire Cornillon est maîtresse de conférences en littérature comparée à l’Université de Nîmes. Ses recherches récentes portent sur la narration et la fiction, en particulier dans les séries télévisées américaines. Elle est co-responsable du Master Fiction à l’Université de Nîmes et chargée de mission Culture dans cette même université. Elle co-dirige par ailleurs la collection « Sérial » aux Presses Universitaires François Rabelais. Elle est l’auteure de Sérialité et Transmédialité. Infinis des fictions contemporaines, Honoré Champion, 2018.
Bruno Doucey, né en 1961 dans le Jura, considère que la poésie est un art de l’hospitalité, « un voyage par lequel nous métissons nos héritages culturels et humains pour bâtir un nouvel art de vivre ensemble », une résistance qui conduit vers la lumière. Après avoir dirigé les éditions Seghers, il a fondé avec la romancière Murielle Szac, en 2010, une maison d’édition vouée à la défense des poésies du monde et aux valeurs militantes. Il est aussi romancier, s’attachant le plus souvent à faire revivre de grandes figures de poètes assassinés comme Max Jacob, Marianne Cohn, Victor Jara, Federico Garcia Lorca, et le chanteur kabyle Lounès Matoub. Il est également auteur de très nombreuses anthologies de poésie. Bruno Doucey n’a de cesse d’être le passeur de la voix des poètes, qu’il fait entendre dans d’innombrables lectures à haute voix.
J.M. Erre enseigne les lettres et le cinéma dans un lycée de Sète. Il est l’auteur de sept romans aux éditions Buchet-Chastel, de romans pour la jeunesse édités chez Rageot, d’une pièce de théâtre chez L’Oeil du prince, de scénarios pour la bande dessinée et le cinéma, ainsi que de sketchs pour l’émission Groland sur Canal + depuis cinq saisons. Son roman Le Mystère Sherlock est en cours d’adaptation au cinéma.
Hélène Frédérick travaille pour des librairies indépendantes et à la diffusion livres du Réseau Art Actuel Québec. Installée en France depuis 2006, elle collabore à plusieurs revues littéraires et signe des fictions radiophoniques pour France Culture et France Inter.
Aymen Gharbi est né en 1981 en Tunisie. De janvier à mai 2019, Montpellier Méditerranée Métropole l’accueille au sein de sa résidence de création littéraire Lattara. Après un cursus de littérature française entre Tunis et Paris, pendant lequel il a étudié le rapport entre série télévisée et roman-feuilleton, il écrit pour divers médias. Il publie son premier roman Magma Tunis chez Asphalte Editions en août dernier. Le romancier poursuit le projet d’écriture de son second roman, La Ville des impasses au cours de cette résidence.
Bruno Gibert, devient graphiste pour la publicité, après avoir effectué des études d’arts appliqués. Il a publié huit romans, dont Claude, qui a obtenu le Prix du premier roman. Il est également auteur et illustrateur pour la jeunesse.
Valérie Manteau, née en 1985, est écrivaine, éditrice et journaliste. Elle vit entre Marseille, Paris et Istanbul. Elle est l’auteure de Calme et tranquille (2016) et Le Sillon (2018, prix Renaudot), tous deux édités au Tripode. Pour ces premiers romans, elle s’inspire de la Turquie, pays qui lui est cher, afin de tisser sa narration. Valérie Manteau participe au journal satirique Charlie Hebdo de 2009 à 2013. Elle a également été éditrice aux éditions Les Échappés de 2008 à 2013. La même année, elle rejoint le Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem) à Marseille, comme chargée d’édition et de diffusion, qu’elle quitte en 2018. Elle reçoit aussi, en 2018, le Trophée littéraire des Nouvelles d’Arménie Magazine pour Le Sillon. Elle est également l’auteure du texte Désir d’enfant, une autofiction destinée au théâtre mise en scène par Jean-Paul Delore.
J.M. Erre enseigne les lettres et le cinéma dans un lycée de Sète. Il est l’auteur de sept romans aux éditions Buchet-Chastel, de romans pour la jeunesse édités chez Rageot, d’une pièce de théâtre chez L’Oeil du prince, de scénarios pour la bande dessinée et le cinéma, ainsi que de sketchs pour l’émission Groland sur Canal + depuis cinq saisons. Son roman Le Mystère Sherlock est en cours d’adaptation au cinéma.
Hélène Frédérick travaille pour des librairies indépendantes et à la diffusion livres du Réseau Art Actuel Québec. Installée en France depuis 2006, elle collabore à plusieurs revues littéraires et signe des fictions radiophoniques pour France Culture et France Inter.
Aymen Gharbi est né en 1981 en Tunisie. De janvier à mai 2019, Montpellier Méditerranée Métropole l’accueille au sein de sa résidence de création littéraire Lattara. Après un cursus de littérature française entre Tunis et Paris, pendant lequel il a étudié le rapport entre série télévisée et roman-feuilleton, il écrit pour divers médias. Il publie son premier roman Magma Tunis chez Asphalte Editions en août dernier. Le romancier poursuit le projet d’écriture de son second roman, La Ville des impasses au cours de cette résidence.
Bruno Gibert, devient graphiste pour la publicité, après avoir effectué des études d’arts appliqués. Il a publié huit romans, dont Claude, qui a obtenu le Prix du premier roman. Il est également auteur et illustrateur pour la jeunesse.
Valérie Manteau, née en 1985, est écrivaine, éditrice et journaliste. Elle vit entre Marseille, Paris et Istanbul. Elle est l’auteure de Calme et tranquille (2016) et Le Sillon (2018, prix Renaudot), tous deux édités au Tripode. Pour ces premiers romans, elle s’inspire de la Turquie, pays qui lui est cher, afin de tisser sa narration. Valérie Manteau participe au journal satirique Charlie Hebdo de 2009 à 2013. Elle a également été éditrice aux éditions Les Échappés de 2008 à 2013. La même année, elle rejoint le Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem) à Marseille, comme chargée d’édition et de diffusion, qu’elle quitte en 2018. Elle reçoit aussi, en 2018, le Trophée littéraire des Nouvelles d’Arménie Magazine pour Le Sillon. Elle est également l’auteure du texte Désir d’enfant, une autofiction destinée au théâtre mise en scène par Jean-Paul Delore.
Pascal Manoukian, photographe, journaliste et réalisateur, a couvert un grand nombre de conflits entre 1975 et 1995 (Liban, Guatemala, Yougoslavie, Irak). Il se fait remarquer en décembre 1979 en étant l’un des seuls photographes occidentaux présent sur place au moment où l’Union Soviétique envahit ce pays. Ancien directeur de l’agence Capa, il se consacre aujourd’hui à l’écriture. Il est récompensé en 2016 par le prix Première à la foire du livre de Bruxelles pour son roman Les Echoués.
Samuel Poisson-Quinton est né en 1980. Il a été successivement saisonnier, commis de cuisine, ouvrier agricole dans les élevages ovins. Il a réalisé plusieurs courts métrages et un essai documentaire, Le Jeune Homme et la mort, tourné au sein d’une maison de retraite (Prix qualité CNC 2012). Un père à la plancha est son premier livre.
Sonia Privat, née à Saint Ouen, a été élève de l’École ESMOD, section stylisme à Paris. Son ouvrage Gorée, symboles du Sénégal, a été nominé pour le Grand Prix du festival du carnet de voyage de Clermont-Ferrand en 2017.
Karine Reysset a 44 ans et vit à Paris. Son roman Comme une mère a été adapté en téléfilm en 2011 sous le titre La Fille de l’autre. L’Étincelle, publié aux éditions Flammarion, est son huitième roman.