Né de l’initiative commune du théâtre Garonne, des équipes de recherche de l’université Toulouse Jean-Jaurès, des éditions Anacharsis et de la librairie Ombres blanches, le festival L’histoire à venir propose un nouveau rendez-vous en ce mois de mai. Du 7 au 9 mai, l’événement propose plusieurs conférence en visio autour du thème « Usages du faux ».
Chamboulée par l’épidémie de Covd-19, L’histoire à venir a totalement revue son organisation. En 2021, le festival a ainsi prévu quatre moments éditorialisés au cours de l’année. Du 7 au 9 mai, place à un nouveau temps de réflexion pour explorer les « Usages du faux ».
Pour sa quatrième édition, les organisateurs du festival L’histoire à venir vous invitent à interroger les « usages du faux », au cours de l’histoire et jusqu’à aujourd’hui. Documents ou preuves fabriqués de toutes pièces, copies et faux en art, objets de contrefaçon, fausses nouvelles, imposteurs, artifices qui permettent parfois la manifestation du vrai… : nous questionnerons le faux dans tous ses états, en nous posant la question de la norme qui permet, de le définir comme tel, et du pouvoir que représentent les procédures de certification.
Au programme :
- Vendredi 7 mai, 18h30 : L’affaire Glozel, un siècle après, en direct du Muséum.
- Vendredi 7 mai, 21h : Un dieu peut en cacher un autre, en direct du théâtre Garonne.
- Samedi 8 mai, 21h : Fausses origines et parentés imaginaires ? Comment Rome a construit son identité.
- Dimanche 9 mai, 21h : L’archéologie et l’invention des preuves… de toutes pièces.
Plus d’informations : 2021.lhistoireavenir.eu