Sélectionner une page

Toulouse : l’opéra urbain de la compagnie La Machine revient pour un deuxième opus avec “Le Gardien du Temple” du 25 au 27 octobre

3 Juil 2024 | Cirque | Arts de la rue, Haute-Garonne, L'Actu, Spectacles vivants

Après le succès de la première représentation en 2018, la compagnie La Machine revient à Toulouse pour offrir aux spectateurs un nouveau récit ; Le Gardien du Temple. Du 25 au 27 octobre, cet opéra urbain gratuit met en place des moyens toujours aussi gigantesques pour impressionner les petits et les grands.

Pour ce second opus, François Delaroziere, directeur de la compagnie La Machine, a opté pour la mise en scène trois machines ; Astérion Le Minotaure, Ariane La Grande Araignée et  Lilith La Gardienne des Ténèbres. Il sera accompagné une nouvelle fois du compositeur Mino Malan ! Mesurant 14 mètres de haut, 13 mètre de long, pesant 47 tonnes, fais de bois, de métal, de feuilles d’or ; Astérion, Le Minotaure, est le gardien de Toulouse. Né des eaux de la Garonne, il galope, se cabre, rumine, souffle, ouvre ses paupières, bouge ses oreilles et emportera le public dans une histoire passionnante avec … Ariane, La Grande Araignée. Demi-sœur du Minotaure, avec ses huit pattes et son corps articulé, les spectateurs pourront l’apercevoir sur les toits ou les façades d’immeubles ! Enfin, la dernière création de François Delaroziere sera présente ; Lilith, La Gardienne des Ténèbres, femme-scorpion missionnée par Hadès, elle est la passeuse entre notre monde et les enfers. À Toulouse, elle errera à la recherche des âmes damnées. Crachant du feu, de l’eau et de la fumée, elle peut également se cacher dans les recoins urbains ; ponts ou tramways …  

Mino Malan, compositeur auto-didacte, a publié chez Art Mélodie l’album Le Gardien du Temple. Il avait déjà été le partenaire musical de François Delaroziere en 2018, où un orchestre classique, un ténor et un chœur de 60 voix avaient accompagné le récit. Cette année, il reprend les partitions pour composer une nouvelle pièce. La compagnie La Machine, quant à elle, spécialisée dans l’art de rue, exploite dans de nombreux projets le mobilier urbain. Dans ses spectacles, le mouvement en est au cœur, il permet d’émouvoir, de rentrer directement en contact avec le public. L’objectif de la compagnie est également de renouveler le regard sur notre environnement quotidien : voir d’un nouvel œil les rues de Toulouse.

Pour plus d’informations : metropole.toulouse.fr

CatégoriesCirque | Arts de la rue | Haute-Garonne | L'Actu | Spectacles vivants

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

A lire aussi